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Résultat :

MJC GRUISSAN TT 1 7 7 PEROLS PPC 1

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Michel CAPEZ le jeudi 01 mars à 13:45

Comme souvent, afficher des intentions de retour ne suffit pas pour prendre la place : l'hiver ne semble pas vouloir la céder, surtout avant l'échéance.😉

A Lyon, quand on trouvait l'hiver trop long, on revenait à la rosette et on la tranchait 6 fois : le printemps ne tardait pas à venir.

Sylvain BARBU le mercredi 28 février à 17:39

Je m'occupe du compte rendu n°9 dès que j'ai fini de déneiger devant ma porte... Et terminé de couper et rentrer du bois pour l'hiver qui commence le 28 février. C'était bien la peine de parler de temps printannier dans le CR n°10

Michel CAPEZ le lundi 26 février à 22:50

Eurêka!

Le Goéland de Gruissan chasse la Mouette de Pérols pour mener après les doubles.

La victoire lui semblant acquise, il se transforme en promeneur( "de santé") dont l'âme insouciante prend la forme d'un chien jouant avec les vagues.

Mais la Mouette, inspirée par l'énergie qu"Hibou"illonne dans les vagues, "se libère" en "cache mire" et le goéland promeneur, en outre aveuglé par son courroux, en rate la victoire ciblée.

P.S. : le CR n°9 est paru?

Sylvain BARBU le samedi 24 février à 21:12

CR n°10

 

CR n°10. Gruissan - Pérols PPC 7-7

 

Merci M. Tchekhov

 

 

Incroyable !!! Inouï !!! Inimaginable !!! Inconcevable !!! Invraisemblable !!! Stupéfiant !!! Ébouriffant... Heu… Impensable ! J'ai réussi à faire 3 points ET LE DOUBLE !!!… Ah mais bon sang, c'était en Pré-Régionale et je n'étais pas seul. Ok, mais quoi ?!?… Il faut bien s'envoyer quelques fleurs, sinon personne ne le fera pour vous. Après une telle disette en double de ma part*, on comprendra aisément cet accès de fièvre subit… Bon, tout ça c'est très bien, mais le compte-rendu prévu dans tout ça ?

Oui, parce que forte d'un effectif pléthorique, la Régionale 2 pourrait presque se permettre de former deux équipes. Ceci explique le pourquoi de ma rencontre le matin contre Agde, en compagnie de Stéphanie, Dominique et Raphaël, car par le biais d'un savant roulement, c'était au tour de Jean-Luc, David, Jérôme et PS de se déplacer à Gruissan, Marc, Pascal et moi-même étant donc dispensés de dépenses énergétiques régionales. Inutile de dire que vu le thermomètre lorsque nous nous étions déjà rendus sur place en février 2017, certains étaient bien contents de rester au chaud à demeure. Je dois bien reconnaître que ce dimanche 18 à Pérols fut particulièrement clément. Quel plaisir, la rencontre terminée en PR, vers 13 heures, de sentir sur le parking la caresse des rayons du soleil dans le joyeux concert des mouettes établies aux abords du gymnase… Tiens, à propos de mouettes ça me rappelle une connaissance qui avait réussi à en apprivoiser une (de mouette, pas de connaissance bien sûr). Cette habile personne – il faut évidemment l’être pour se faire accepter des mouettes n’est-ce pas – avait pour prénom Laure, tandis qu'elle portait le patronyme d'Amphoux ; étonnant non ?!?. On se demande parfois à quoi pensent les parents. Malheureusement, la mouette en question disparut un beau matin sans fournir plus que ça d’explication. A mon avis les goélands portent l’entière responsabilité de cette disparition : remarquez que paradoxalement les goélands sont voisins proches des mouettes… de grosses mouettes en quelque sorte.

 

Or donc, ils chassent des côtes ces sympathiques mais néanmoins bruyants et salissants oiseaux marins (larus laridés) que l’on pouvait naguère admirer à loisir sur nos rivages méridionaux. On pense que le hibou éloigne à son tour le goéland mais je ne conçois guère qu’une nuée de hiboux (choux, genoux, cailloux, joujoux…) envahisse un jour le ciel méditerranéen. Enfin, si l’un de vos voisins arbore un de ces rapaces nocturnes factices sur son balcon, vous saurez ce voisin ornitophobe, ou tout au moins goélanophobe.

 

Certes, le goéland ne connaît rien à la poésie du vol de la mouette, et c’est dommage. Imaginez un peu: votre montre indique (si tant est que vous en possédiez une, sinon consultez votre portable… Ou alors faites-vous installer un cadran solaire mobile… Ou apprenez à lire un gnomon) 07h42 (du matin, je vous fais don des secondes qui n’apportent vraiment rien au récit). Contemplez l’étendue sablée et non moins déserte qui s'offre à vous en ce matinal instant… On appelle ça une plage aussi, mais bon, continuons ; il subsiste encore quelques filets de brume sur la mer, cependant on sent à la lumière particulière de cet instant et à l'inhabituelle douceur du climat que le printemps affiche ses intentions de retour.

 

Ah tiens, finalement cette plage se révèle plus fréquentée que prévu, car tout là-bas, un homme promène son chien à la frontière éternellement roulante de la terre et de l’eau. Le chien, un chiot plutôt, grisé par ses sensations court après les vagues qui s’échappent sans fin sans oser mouiller franchement ses pattes. On ne peut l’entendre, mais on le voit japper et reculer devant chaque assaut frémissant.

 

Et puis en détachant votre regard de ce tableau pré-printannier, vous accrochez quelques voyageuses aériennes qui n’ont pas la grâce des hirondelles, mais possèdent l’immense privilège de voler au dessus de Neptune. Avouez que ce n’est pas donné à tout le monde !!!… A peine vous ont-elles mis le cœur en fête que vos yeux se reposent sur notre promeneur… il n’a pas l’air content, ça non ! Il hurle en levant le poing et en invectivant le ciel, tandis que son chiot, maintenant assis tête penchée à droite, une seule oreille dressée, le regarde sans comprendre. L’homme tient sa casquette à la main et son manteau crème en cachemire est passé désormais à deux teintes distinctes. Haaa je l’avais dit : les mouettes c’est salissant !!!…

 

Mais je me suis une fois de plus égaré… Il n'est décidément pas facile de rester concentré sur le bilan d'une rencontre, et surtout quand on y était absent. Heureusement, Jean-Luc m'a renseigné sur la performance, retranscrite ci-dessous, de l'équipe par son service de petits messages. Le moins que l'on puisse faire, c'est de féliciter chaleureusement l'ensemble du quatuor à la fois pour son résultat, mais aussi pour avoir osé braver une seconde fois le froid de ce février audois.

 

 

Jean-Luc 2 pts

David 2 pts

Jérôme 1 pt

PS 1 pt

 

1 double sur 2, mais n'ayant pas les compositions et n'arrivant toujours pas à lire dans une boule de cristal, je me trouve bien embêté ci-devant pour préciser le sujet…

 

* Lire « Sylvain maîtrise le double » aux éditions PPCP

Michel CAPEZ le lundi 19 février à 15:50

Un super match nul acquis avec rien moins que 5 perfs : bravo!