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Résultat :

ST CHRISTOL LEZ 3 8 6 PEROLS PPC 1

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Michel CAPEZ le jeudi 07 décembre à 14:10

Mais que font le meneur et le singe?

Il faudra bien être en charette pour la dernière journée contre Limoux afin d'éviter de terminer comme la blanquette de la poule! 😉

Sylvain BARBU le mercredi 06 décembre à 00:42

Damned!!! Toutes mes excuses. Voilà bien les travers de l'information par des sources discutables. Je corrige au plus vite et je rétablis la bonne orthographe du prénom de M. Joke. Pour la culière, s'en référer aux points collectés...

Stephanie DE FUSTER le mardi 05 décembre à 19:17

M le tetard

Je vais me permettre une remarque qui ne modifie en rien le résultat final

de mémoire Jean luc aurait fait 2 et Jérôme 1....

Qui joue le rôle de la culière?

 

A tout 

Bises

Sylvain BARBU le mardi 05 décembre à 09:28

CR n° 6

 

CR n°6. Saint Christol Lès Alès – Pérols PPC 8-6

 

Ça ne s'arrange guère !

 

Quelle surprise ce dimanche 26 en débarquant par la D610 à Sommières sur le parking jouxtant le Vidourle, lieu de rendez-vous pour l'équipe en vue de la rencontre de l'après-midi contre Saint Christol Lès Alès ; Bon certes, si j'avais débarqué du Vidourle par bateau c'eût été plus juste littérairement parlant mais c'était une image…

En m'engageant donc entre les voitures garées telles épis de blé au soleil de 12h55, j'ai pu tomber sur un groupe de pique-niqueurs dont le comportement m'a effectivement fort étonné. En effet, bien que le soleil brillât abondamment, une petite bise de derrière les fagots se chargeait de situer Sommières au Groenland en plein cœur de l'hiver. Aussi trouvai-je étrange la propension de ces promeneurs du dimanche à préférer déjeuner transis de froid en plein courant d'air sur un sol mal dégrossi de gravier bitumé derrière leur voiture toute malle arrière ouverte, plutôt que sur la table et les bancs situés 30 mètres plus loin, dans la verdure et bien abrités des affres du père Éole. Je fus encore plus ébahi lorsque je constatai que ces convives « bucoliques » constituaient en fait une partie de mon équipe, adjointe de Stéphanie et de Rémi, surmonté pour ce dernier d'un bonnet de bobsleigh et néanmoins surnommé Mr Joke (Rémy, pas le bonnet bien sûr), mais ceci est une autre histoire. Et en plus ils se plaignaient tous de la température et de la jolie couleur bleue de leurs doigts… Les gens ne sont jamais contents !!!…

Heureusement, après avoir rejoint la deuxième partie de notre fine équipe constituée de Marine et Jérôme à Saint Christol, nous avons trouvé une salle toute neuve et bien chauffée, ce qui nous a évité d'affronter les mêmes difficultés que lors d'un certain match à Gruissan, resté gravé dans les mémoires de Pascal et Jean-Luc, que les stalactites pendues à leurs nez avaient considérablement empêcher de développer un jeu efficient.

Cette douce chaleur ambiante a engendré une sorte de dynamique de groupe ludique, illustrée par un jeu intitulé « Top 5 des films comprenant le mot fureur » sur le banc de l'équipe. Je n'ai pas gagné – peut-être un signe avant-coureur du destin au sujet de ma performance à la table ?... – mais qui peut connaître des films comme « Fast and fureur », « La fureur soyeuse de l'hermine d'or » ou « La fureur du samedi soir » ? A l'inverse, personne d'autre que moi ne connaissait « La fureur de vivre », celle de vaincre, ou celle du dragon. Comment voulez-vous gagner dans ces conditions ?

A l'arrivée nous avons réalisé le même score que lors de la rencontre évoquée un peu plus haut contre Gruissan, c'est à dire un beau 8-6 en notre défaveur.

Je dois confesser ma grande part de responsabilité dans ce résultat peu favorable… Mon jeu ne doit plus être à la page, ce qui semble confirmé par ma façon de remercier l'adversaire en fin de partie. Apparemment je procède en la matière d'une façon fort peu moderne ; tandis que tout le monde se tape aujourd'hui dans la main, je persiste à vouloir pratiquer le bon vieux serrement de mains traditionnel. Je n'ai pas le temps de m'appesantir ici sur ce passionnant sujet anthropologique mais peut-être le ferai-je sur un compte-rendu ultérieur…

Bref, ces considérations mises à part, c'est bien dommage !!!… Quand le boucleteau de trait et la douille de sellette fonctionnent correctement, ce sont le têtard de limon et la culière* qui pêchent. Je veux bien prendre le rôle du têtard…

 

* Différents éléments d'un attelage

 

Sylvain 1 pt

Jean-Luc 2 pts

Jérôme 1 pt

PS 2 pts

 

… toujours pas de double en vue